Episode #57: "Le monstre et l'enfant"

Scénario : 3,5/5
Classique, pour le moins. Présentation des protagonistes (Akénor, son scarabée, sa mère), intervention de Horos, Phénicia et Alcor lâchés en ville (le moment d'anthologie !), Phénicia enlevée par le gamin conditionné, Alcor la délivre, le golgoth est lâché, Actarus arrive avec les appareils et le combat a lieu, qui voit les aigles victorieux au milieu de la ville en ruines au moment où l'enfant retrouve sa mère.

Intérêt : 3/5
Il n'apporte pas grand chose comme informations mais la séance de shopping avec Alcor et Phénicia donne quelques éclats de rire. On voit aussi que Véga n'a guère de scrupules à se servir d'enfants sans défense...

Graphisme : 4/5
Pas mal, je n'ai rien noté de particulier même si certaines séquences sont un peu traitées à la va-vite

La bestiole du jour : 5/5
C'est un scarabée taille XXXXXL construit dans les sous sols de la ville par Horos n'co. Il a un système de protection élevé avec ses ailes, ses yeux lancent des rayons et sa bouche des flammes. Il sera vaincu par Goldorak et Alcorak en jumelage.

Je suis assez d'accord avec toi pour le scénario et l'intérêt de l'épisode. La séquence "shopping" avec Alcor et Phénicia est peut-être LE morceau d'anthologie bravoure de l'épisode. Il est toujours intéressant de voir les personnages évoluer dans un environnement inhabituel. Mention spéciale à la réplique d'Alcor : "Maintenant je voudrais profiter de mon jour de congé !!!"

Je reste un peu plus dubitatif sur le côté graphisme. Voir la visière du casque d'Actarus en jaune et non en blanc comme a l'habitude est un petit peu déstabilisant à mon goût. Certaines séquences, notamment pendant le combat, sont un peu "loupées". Pour moi, ça vaut 3/5 (3.5 à la rigueur).

Enfin, "Scaravageur" (bravo pour le nom, c'est quand même très bien trouvé) est très réussi. Il ressemble vraiment à son modèle et il s'est avéré être un adversaire de valeur pour Goldorak.

kimi_san a écrit:

Je suis assez d'accord avec toi pour le scénario et l'intérêt de l'épisode. La séquence "shopping" avec Alcor et Phénicia est peut-être LE morceau d'anthologie bravoure de l'épisode. Il est toujours intéressant de voir les personnages évoluer dans un environnement inhabituel. Mention spéciale à la réplique d'Alcor : "Maintenant je voudrais profiter de mon jour de congé !!!"

Je reste un peu plus dubitatif sur le côté graphisme. Voir la visière du casque d'Actarus en jaune et non en blanc comme a l'habitude est un petit peu déstabilisant à mon goût. Certaines séquences, notamment pendant le combat, sont un peu "loupées". Pour moi, ça vaut 3/5 (3.5 à la rigueur).

Enfin, "Scaravageur" (bravo pour le nom, c'est quand même très bien trouvé) est très réussi. Il ressemble vraiment à son modèle et il s'est avéré être un adversaire de valeur pour Goldorak.

Ce moment de shopping est un des rares moments ou phénicia se conduit en ado, en fille.

aphelie a écrit:

Ce moment de shopping est un des rares moments ou phénicia se conduit en ado, en fille.

=> Ce qui apporte une véritable bouffée d'air frais à cet épisode !

kimi_san a écrit:

aphelie a écrit:

Ce moment de shopping est un des rares moments ou phénicia se conduit en ado, en fille.

=> Ce qui apporte une véritable bouffée d'air frais à cet épisode !

tout à fait.
Il y a l'attachement de ce gosse solitaire avec un scarabé. C'est assez touchant et très bien vu.

aphelie a écrit:

tout à fait. Il y a l'attachement de ce gosse solitaire avec un scarabé. C'est assez touchant et très bien vu.

=> Je ne peux que partager ton avis sur ce point. Avec un père inexistant et une mère toujours absente (et qui rentre à priori souvent très tard), la structure familiale est complètement déséquilibrée et il se raccroche tant bien que mal au lien qu'il entretient avec son scarabée qui semble d'ailleurs être son seul ami.

Ce thème est intéressant dans la mesure où cette situation se retrouve également chez nombre de familles dans nos pays occidentaux : des parents absents et des enfants délaissés, seuls et livrés à eux-mêmes.

kimi_san a écrit:

aphelie a écrit:

tout à fait. Il y a l'attachement de ce gosse solitaire avec un scarabé. C'est assez touchant et très bien vu.

=> Je ne peux que partager ton avis sur ce point. Avec un père inexistant et une mère toujours absente (et qui rentre à priori souvent très tard), la structure familiale est complètement déséquilibrée et il se raccroche tant bien que mal au lien qu'il entretient avec son scarabée qui semble d'ailleurs être son seul ami.

Ce thème est intéressant dans la mesure où cette situation se retrouve également chez nombre de familles dans nos pays occidentaux : des parents absents et des enfants délaissés, seuls et livrés à eux-mêmes.

Horos profite de cette faille en excellent psychologue qu'il est. L'extrémisme, le mal profite toujours d'une faille ou d'une félure chez quelqu'un ou dans un état. Ce da, sous des histoires simples, nous dit beaucoup de vérités profondes. C'est ce qui en fait son charme et son intérêt.

Par contre quelque chose me "gêne" un peu dans cet épisode. L'action se déroule à Tokyo la capitale, or à part dans la boutique où Phénicia achète son collier, on voit très peu de monde évoluer dans la ville, on dirait qu'elle est déserte !Je trouve cela dommage de ce côté là !

tu imagines tout le monde qu'il faudrait dessiner ?
Et j'ai vu dans les dramas qu'il y avait des quartiers calmes, ils étaient peut-être dans ceux-là ?

Bon, si c'est ça, pourquoi pas !

c'est vrai que Tokyo est une ville qui grouille

Bah oui, c'est pour cela que le fait de voir personne (ou presque) dans les rues je trouve cela bizarre !

Cela fait des dessins en plus, mais il aurait suffi d'en dessiner quelques unes comme dans certains épisodes !!!!